Patti Cakes …
Film intimiste et féministe dans la loose et la misère du New Jersey …
Très violent , mais jamais misérabiliste , le film alterne scènes de groupe , instants sociaux trash et évasion onirique absolue , dans les fantasme de l’héroïne …
Le rap de l’intérieur : ce film va vous le faire découvrir …
Et aimer !
Seven Sisters …
Eugénisme et dictature … << La chasse à l’enfant>> , de Jacques Prévert , remasterisée façon Hollywood , dans un monde gris , pluvieux et sale , noyé de misère , où l’on capture les enfants …
Action trash , montage efficace …
Et suspense moral …
Un film HAUTEMENT politique …
Tensions sociales , misère et violence dans une réserve indienne …
Film sobre et âpre , presque silencieux , malgré un début , hélas , trop lent …
Résultat efficace , avec trois bouts de ficelle : personnages et dialogues peu nombreux , plans fixes , et sensation d’enfermement permanente …
Peu de scènes d’intérieur , et la poudreuse alterne avec la tempête …
Excellents acteurs , mais personnages secondaires , hélas , à peine esquissés …
Dépourvue de misérabilisme , cette œuvre digne mérite d’être découverte …
120 battements par minute …
Plongée quasi-documentaire au cœur du militantisme des années 80 …
La caméra colle aux personnages et aux groupes , y compris dans les actions …
Montage , caméra ralentie , et bande-son restituent fidèlement l’adrénaline , la fête , l’amour , la mort …
Le fonctionnement collectif est présenté , brut , dans tout son bouillonnement …
Et ses impasses …
Pour autant , l’auteur ne dédaigne en rien les personnages secondaires , dans des scènes intimistes , parfois crues …
Ou violentes ( scènes d’hôpital … ) .
Sans dolorisme , et temps mort , ce film sobre reste trop court …
Malgré ses deux heures …
Upstream colors …
Branlette snobinarde godardienne bâclée …
Cinéma expérimental réalisé avec trois bouts de ficelles …
Lumières , cadrage et acteurs sont parfaits , une mise en scène sobre restitue la sensation d’enfermement …
Projet ambitieux , scénario médiocre …
Lamentable gâchis …
Une femme douce …
Voyage long , lent , presque silencieux , dans la Russie de l’ennui , de l’alcool , de la crasse , de la répression et de la misère …
Le personnage principal est mutique , presque muet , et comme statufié …
Le réalisateur décrit un pays rural , pauvre , et arriéré …
Les vingt dernières minutes apportent une rupture de ton absolument délirante …
Voyage pénible d’un pays sans gloire …
Summertime …
Ce que Téchiné aurait pu , et , surtout , dû être …
Voyage initiatique de deux adolescents << losers>> , et transformation insensible de CHAQUE personnage …
Spontané , vivant , pudique , rythmé et servi par d’excellents acteurs …
Téchiné est LOIN ! …
Personnages caricaturaux , hélas à peine esquissés , suspense intact , mais rythme trop rapide … Dommage , car l'< <enquête> >est prétexte à décrire une police peu glorieuse …
Et une société beaucoup plus conservatrice qu’elle n’en a l’air …
Film hybride …
Fiction documentée , mais nerveuse , rapide , et sobre …
Sans le moindre jugement , la mécanique , l’engrenage dans lequel sont happés le héros et TOUT son entourage sont froidement exposés …
Il n’y a pas d’avantage d’analyse , mais dialogues et mise en scène sont épurés , étalant un interminable huis-clos , au suspense intact jusqu’à la dernière image …
Etrange et inclassable , hélas , trop sec et trop rapide : la presque totalité des personnages ne sont que des fantômes , à peine esquissés …
A découvrir cet étrange ouvrage offrant plus de questions que de réponses …
Lola pater … Téchinade verbeuse , filandreuse , théâtrale , longue et chiante … Acteurs parfaits , mise en scéne efficace , mais scénario pleurnichard , niais , hors-sol , et , <psychologisant> … Dommage …